Blog d’information i propos des mecanismes et des consequences des psychotraumatismes consecutifs pour des violences familiales, conjugales et/ou sexuelles.
Di?s Que 1 femme est agressee, Votre doute n’est Manque permis.
Annie Ferrand (1)
En telechargement (en PDF) a Notre de du site de l’association :
Notre notion de credibilite une victime a prevalu Avec Un credit que J’ai justice accorde pour les propres experts. Indeniablement, Ce rapport medico-legal au sujet de Mme Diallo a revele sa presence de sperme de l’accuse et des lesions ras-le-bol caracteristiques pour qu’ y conclut : ” Diagnostic: agression . “. Le 22.08, votre justice s’est prononcee sur votre cause de l’abandon Plusieurs poursuites : des elements rassembles ne permettraient jamais d’accrediter Notre version une plaignante du dela d’un « doute raisonnable ». Car votre poursuite aurait du prouver hors de « bien doute raisonnable » qu’un crime fut commis et que c’est l’accuse , lequel l’a commis. La question est : pourquoi Notre presence d’ADN pour l’accuse et des traces , lequel, par rapport aux medecins, seront l’indice d’une agression, ne prouvent pas « au-dela d’un doute raisonnable » que l’accuse a agresse J’ai victime ?
1- 1 soupcon raisonnable…
Le procureur a quelques visees electoralistes de abandonnant les poursuites. Mais, il a degote de la raison vraiment credible. Une seule certitude reste qu’il y a eu « acte sexuel », Toutefois quant a savoir lorsque Mme Diallo a ete forcee, aucune certitude ne pourrait i?tre possible. Ce seul facteur qu’il retient comme « preuve » indubitable reste votre presence de sperme. Exit des traces pour violence . Pourquoi ignorer Plusieurs elements tangibles ? Pourquoi de vision partiale va devenir credible ? Car cette dernii?re enterine Notre version sexiste que medias et avocats pour DSK martelent avec le commencement : ils font eu relation sexuelle . Or ce qui veut dire juste que l’affaire est jugee d’avance. Car leurs notions de relation sexuelle et de viol s’opposent : l’une est de relation normale, l’autre reste de agression qui possi?de concernant arme le penis. Votre these une relation sexuelle n’est corroboree qu’en l’absence de preuve d’agression. A l’instar Plusieurs militantes pour New York , j’insiste : les traces de violence ne signifient donc que dalle ?
Non . Vos avocats de DSK l’affirment comme 1 evidence : des lesions constatees « peuvent avoir ete provoquees avec un rapport sexuel consenti ». Ah bon ? quelques ecchymoses au sexe ? De la part de « ravissement » bien douloureuse oasis dating comment Г§a marche Afin de madame ! Mensonge insultant . Suivant le procureur : « Les preuves physiques, scientifiques et d’autres natures indiquent que l’accuse a engage Le acte sexuel precipite a l’egard de ma plaignante… ». Precipite ? Tel « il s’est precipite Avec mon emmenagement concernant m’agresser » ou comme « Cela etait presse… Le avion pour prendre » ? Jeu de mot insultant . Pourquoi 1 tel mepris ? Car les lesions constatees n’ont pu corroborer « au dela de ce doute raisonnable » la these de l’agression. L’intermediaire d’evidence avec ses violence et prejudice a ete rompu. Avec quoi ? Avec l’idee que J’ai plaignante ait reussi i consentir pour la violence. Car, rappelons-le, Un prejudice est votre dommage, en tant que tel indesirable concernant ma victime. Si votre plaignante a consenti pour votre violence, Notre violence n’est plus 1 prejudice . Voila de idee bien sexiste qui etablit votre double standard du matiere d’agression : sa violence ne a gui?re en soi prejudice a toutes les jeunes femmes car elles pourront en jouir . Cela porte prejudice reste que J’ai plaignante n’ait nullement consenti pour cela s’est passe, quelle qu’en puisse i?tre la violence .
De cette fai§on, Notre plaignante a reussi i consentir pour J’ai violence… peut-etre est-elle masochiste. Votre possibilite a ete capable de mettre en doute l’evidence d’une agression ayant laisse des traces. Le raisonnement a aussi tenu contre toute probabilite. De la cherie proposerait des actes sadomasochistes pour mon inconnu dans son lieu de travail ? aussi que 90% quelques defenseurs en SM (2) paraissent des hommes et qu’aucune cousine ne se risquerait d’elle-meme a un scenario brutal manii?re 1 inconnu ? Invraisemblable. Pourquoi ce doute de masochisme est juge lorsque « raisonnable » ? C’est parvenu a neutraliser quelques preuves accablantes d’agression du coup qu’il ne correspond ni a une realite statistique ni a mon raisonnement logique. Effectivement, comment une probabilite de 0.0…01% (l’employee masochiste qui tombe concernant 1 client sadique) peut-elle mettre de doute 1 these pour 100% corroboree (agression) ? Votre soupcon releve d’une sociologie folle ou regne votre probabilite infinitesimale. D’ou doit venir du coup une « credibilite » ? De le « realisme ». Indeniablement, Mon soupcon de masochisme feminin est instille avec toute 1 culture sexiste. Une telle chimere resonne pour divers niveaux de conception une vision dominante du vrai : quelques sciences d’une sexualite (3) pour l’art ( Dworkin , 1974), en passant par votre pornographie. Votre credibilite de ce soupcon est maintenant imposee via sa propagande d’un empire multimilliardaire : l’industrie proxenete et les secteurs promotionnels – pornographie, publicite, magazines, clip musicaux ( Dines , 2005 ; Poulin , 2007). Il va i?tre donc aussi « raisonnable » que votre realite, en tant que l’ideologie construit J’ai perception une realite. Tous les industriels en sexisme imposent une fiction « realiste » faite pour chimeres : « votre soubrette qui aguiche », J’ai racisee (4) « qui possi?de Ce sang tendu », la « masochiste , lequel jouit d’etre contrainte et brutalisee », sa « vendue , lequel ferait tout pour de l’argent ». Dans la culture pornographiee (Poulin, 2009), J’ai « soubrette masochiste prostituee » y a, telle de probabilite « realiste » creee avec un faisceau pour messages reels (scenario de films, publicites sexistes), causes par l’expansion du proxenetisme. Leurs industriels creent de mi?me Un soupcon « realiste » que toute cherie est masochiste . Pas de de l’ensemble de ses souffrances (servilite, exil, etc.) ne tienne face du stigmate. Surtout trop plane Ce soupcon qu’elle est de vendue , sa simulatrice absolue. Lever votre doute revient aussi a « nier sa realite » (porno-proxenete) basee via sa probabilite (virtuellement enorme) que « des jeunes femmes tel ca existent ». Or nier J’ai realite n’est jamais raisonnable.